L'histoire : Dieu
et Satan ont les boules. Le premier souhaite voir l'homme
hériter définitivement de la terre grâce à une politique non
interventionniste, le second veut la récupérer pour y faire se
multiplier ses propres petits copains. Pour résoudre leur
différend, ils se lancent un défi : sept jours pour que l'une
ou l'autre des parties prenne le dessus. Pour mettre toutes
leurs chances de leurs côtés, ils envoient leurs meilleurs
agents, Zophia, l'ange belle à croquer, et Lucas, le démon
beau tout pareil. Le lieu du pari sera San Francisco, le choix
des armes laissé au bon vouloir des deux créatures
supra-terrestres. Et, les gars, j'ai une super idée qui
déchire, et si que les deux VRP, ils se rencontraient ?
Bonnard...
L'avis du
Webmaster : J'ai cherché. Je vous jure que j'ai
cherché quelque chose d'un peu gentil à dire sur cet Arlequin
déguisé en fable sentimentale. En vain. Les dialogues sont
convenus, voire tout simplement grotesques, les situations
invraisemblables, et les impressions de déjà-lu innombrables.
Petite devinette : dans quel autre roman trouve-t-on ce
personnage de vieille logeuse excentrique et maternelle, un brin
moralisatrice sous couvert de non-conformisme, retirée des
voitures après une existence palpitante ? Je vous donne un
indice : ça commence par "Chro" et ça finit par
"niques de San Francisco". Saint Armistead, priez pour
lui...
P.S. : pour les
gentils lecteurs qui ont découvert la semaine passée la
première chronique de mes "humeurs", vous trouverez
ici un bon exemple de Deus ex machina-man déguisé en Sans
Abri. Pour vous prouver que je n'invente rien...
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